Happy Place explores the time a group of women spend together in an in-patient care facility. The women have only one thing in common: they have all attempted suicide. Samira’s (Backo) attempt stems from PTSD after a violent sexual assault several years earlier, and her fellow residents – sophisticated Celine (Perron), ribald Mildred (Walsh), guarded Rosemary (Sinha), vulnerable Nina (Repo-Martell), and competitive Joyce (McCarthy) – have personal stories that intersect with her own. Trying to lead them all to some form of healing is psychiatrist Louise (Rosling), who holds the centre of this diverse and kinetic group. Some of the women will leave the safety of the clinic, for better or worse, and others will stay, hopefully learning to find a way to exist alongside their pain.

Happy Place nous présente un groupe de femmes dans un centre de soins. Ces femmes n’ont qu’une chose en commun: elles ont toutes tenté de se suicider. La tentative de Samira était due à un stress post-traumatique à la suite d’une agression sexuelle de nombreuses années auparavant. Les autres résidentes, la raffinée Céline, la grivoise Mildred, la réservée Rosemary, la vulnérable Nina et la compétitive Joyce, ont des histoires personnelles qui s’entrecroisent avec la sienne. Louise, la psychiatre qui est au cœur de ce groupe diversifié et mouvant, tente de leur faire trouver le chemin de la guérison. Certaines d’entre elles quitteront la sécurité de cette clinique — pour le meilleur ou pour le pire — et d’autres y resteront, en espérant pouvoir trouver une façon de conjuguer et coexister avec leur douleur.