Co-presented by | Co-présenté par
One of the most expensive productions in Latvian cinema’s history, this impressive adaptation of the classic novel by Aleksandrs Grins is Latvia’s biggest box-office hit in over three decades.
Based on Grins’ own experiences, Blizzard is the starkly vivid autobiographical account of Arturs, a 17-year-old farm boy thrust into the trenches of World War I. Witnessing the death of his mother at the hands of German soldiers, he is quickly conscripted with his father and brother to fight in one of Latvia’s first national battalions. Arturs is soon on the march, witnessing trench warfare and village to village combat, not to mention surviving the infamous gas attack in 1916 at the Island of Death battle.
A powerful, visually stunning portrait of lost innocence that has drawn stylistic comparisons to Sam Mendes’ 1917 and Elem Klimov’s Come and See, Blizzard of Souls also sounds echoes of Andrei Tarkovsky’s Ivan’s Childhood. An unforgettable, affecting Latvian perspective on ‘the war to end all wars.’
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L’une des productions les plus coûteuses de l’histoire du cinéma letton, cette impressionnante adaptation du roman classique d’Aleksandrs Grins est le plus grand succès au box-office en Lettonie depuis plus de trois décennies.
Basé sur les expériences personnelles de Grins, Blizzard est le conte autobiographique d’Arturs, un jeune fermier de 17 ans, lancé dans les tranchées de la Première Guerre Mondiale. Témoin de la mort de sa mère aux mains de soldats allemands, il est rapidement enrôlé avec son père et son frère afin de combattre dans l’un des premiers bataillons nationaux de Lettonie. Bientôt, Arturs marche avec les autres, exposé à la guerre dans les tranchées et au combat de village en village, sans mentionner qu’il survit à l’infâme attaque au gaz de 1916 lors de la bataille de l’île des morts.
Un portrait puissant et visuellement époustouflant de l’innocence perdue qui établit des comparaisons avec 1917 de Sam Mendes (2019) et Come and See d’Elem Klimov (1985). Blizzard of Souls fait aussi écho à Ivan’s Childhood, d’Andrei Tarkovsky (1962), en offrant une perspective lettone inoubliable et touchante de « la guerre pour mettre fin à toutes les guerres ».
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One of the most expensive productions in Latvian cinema’s history, this impressive adaptation of the classic novel by Aleksandrs Grins is Latvia’s biggest box-office hit in over three decades.
Based on Grins’ own experiences, Blizzard is the starkly vivid autobiographical account of Arturs, a 17-year-old farm boy thrust into the trenches of World War I. Witnessing the death of his mother at the hands of German soldiers, he is quickly conscripted with his father and brother to fight in one of Latvia’s first national battalions. Arturs is soon on the march, witnessing trench warfare and village to village combat, not to mention surviving the infamous gas attack in 1916 at the Island of Death battle.
A powerful, visually stunning portrait of lost innocence that has drawn stylistic comparisons to Sam Mendes’ 1917 and Elem Klimov’s Come and See, Blizzard of Souls also sounds echoes of Andrei Tarkovsky’s Ivan’s Childhood. An unforgettable, affecting Latvian perspective on ‘the war to end all wars.’
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L’une des productions les plus coûteuses de l’histoire du cinéma letton, cette impressionnante adaptation du roman classique d’Aleksandrs Grins est le plus grand succès au box-office en Lettonie depuis plus de trois décennies.
Basé sur les expériences personnelles de Grins, Blizzard est le conte autobiographique d’Arturs, un jeune fermier de 17 ans, lancé dans les tranchées de la Première Guerre Mondiale. Témoin de la mort de sa mère aux mains de soldats allemands, il est rapidement enrôlé avec son père et son frère afin de combattre dans l’un des premiers bataillons nationaux de Lettonie. Bientôt, Arturs marche avec les autres, exposé à la guerre dans les tranchées et au combat de village en village, sans mentionner qu’il survit à l’infâme attaque au gaz de 1916 lors de la bataille de l’île des morts.
Un portrait puissant et visuellement époustouflant de l’innocence perdue qui établit des comparaisons avec 1917 de Sam Mendes (2019) et Come and See d’Elem Klimov (1985). Blizzard of Souls fait aussi écho à Ivan’s Childhood, d’Andrei Tarkovsky (1962), en offrant une perspective lettone inoubliable et touchante de « la guerre pour mettre fin à toutes les guerres ».