Co-presented by | Co-présenté par
From veteran Luxembourg filmmaker and EUFF returnee Andy Bausch, whose films Back In Trouble and Rusty Boys screened in past editions, comes this clever, irreverent documentary about the social, political, and cultural shifts in the Grand-Duchy of Luxembourg during the tumultuous and, in many ways, defining decade of the 1980s.
Blurring the lines between documentary and fiction, Bausch has as our guides two fictional characters (played by André Jung and Luc Schiltz) in the roles of a 1980s vintage cop show duo. Deftly interweaving archival footage from television news, music, and pop culture, Bausch creates a fascinating portrait of Luxembourg then and, by extension, Luxembourg now.
Lost in the 80s surveys a lot of historical ground, including the country’s steel crisis, the birth of Luxembourg’s booming financial service industry, the rise of Green politics, other political protests, the emergence of a potent alternative culture, the series of infamous and anonymous bomb attacks on public buildings and infrastructure installations in the mid-’80s, the papal visit of John Paul II, and even the state of Luxembourg cinema. While specific to the national experience and memory of Luxembourg, this film also connects to and reflects upon what went on all over the world during that wild, strange, now faraway decade.
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Du réalisateur vétéran du Luxembourg faisant un retour au FFUE (nous avons présenté deux de ses films, Back In Trouble et Rusty Boys, dans des éditions antérieures) Andy Bausch, nous vient ce documentaire intelligent et irrévérent sur les changements sociaux, politiques et culturels du Grand-Duché du Luxembourg durant la tumultueuse et, de maintes façons, déterminante décennie des années 80.
Brouillant les limites entre documentaire et fiction, Bausch nous donne comme guides deux personnages fictifs (joués par André Jung et Luc Schiltz) dans les rôles d’une émission de duo policier propre aux années 80. Entretissant adroitement des séquences d’archives de nouvelles télévisées, de la musique et de la culture pop, Bausch crée un portrait fascinant du Luxembourg d’alors et, par extension, du Luxembourg d’aujourd’hui.
Lost In The 80s couvre une grande base historique. Cela comprend la crise de l’acier du pays, la naissance des services financiers florissants du Luxembourg et ses industries connexes, la levée des politiques vertes, d’autres protestations politiques, l’émergence d’une puissante culture alternative, la séries d’attaques à la bombe immondes et anonymes contre des édifices publics et des installations d’infrastructure dans la moitié des années 80, la visite du pape Jean Paul II, et même l’état du cinéma du Luxembourg. Bien que touchant en particulier l’expérience et le souvenir nationaux du Luxembourg, ce film nous connecte aussi et nous fait réfléchir à tout ce qui s’est passé dans le monde pendant cette décennie folle, étrange et maintenant lointaine.
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From veteran Luxembourg filmmaker and EUFF returnee Andy Bausch, whose films Back In Trouble and Rusty Boys screened in past editions, comes this clever, irreverent documentary about the social, political, and cultural shifts in the Grand-Duchy of Luxembourg during the tumultuous and, in many ways, defining decade of the 1980s.
Blurring the lines between documentary and fiction, Bausch has as our guides two fictional characters (played by André Jung and Luc Schiltz) in the roles of a 1980s vintage cop show duo. Deftly interweaving archival footage from television news, music, and pop culture, Bausch creates a fascinating portrait of Luxembourg then and, by extension, Luxembourg now.
Lost in the 80s surveys a lot of historical ground, including the country’s steel crisis, the birth of Luxembourg’s booming financial service industry, the rise of Green politics, other political protests, the emergence of a potent alternative culture, the series of infamous and anonymous bomb attacks on public buildings and infrastructure installations in the mid-’80s, the papal visit of John Paul II, and even the state of Luxembourg cinema. While specific to the national experience and memory of Luxembourg, this film also connects to and reflects upon what went on all over the world during that wild, strange, now faraway decade.
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Du réalisateur vétéran du Luxembourg faisant un retour au FFUE (nous avons présenté deux de ses films, Back In Trouble et Rusty Boys, dans des éditions antérieures) Andy Bausch, nous vient ce documentaire intelligent et irrévérent sur les changements sociaux, politiques et culturels du Grand-Duché du Luxembourg durant la tumultueuse et, de maintes façons, déterminante décennie des années 80.
Brouillant les limites entre documentaire et fiction, Bausch nous donne comme guides deux personnages fictifs (joués par André Jung et Luc Schiltz) dans les rôles d’une émission de duo policier propre aux années 80. Entretissant adroitement des séquences d’archives de nouvelles télévisées, de la musique et de la culture pop, Bausch crée un portrait fascinant du Luxembourg d’alors et, par extension, du Luxembourg d’aujourd’hui.
Lost In The 80s couvre une grande base historique. Cela comprend la crise de l’acier du pays, la naissance des services financiers florissants du Luxembourg et ses industries connexes, la levée des politiques vertes, d’autres protestations politiques, l’émergence d’une puissante culture alternative, la séries d’attaques à la bombe immondes et anonymes contre des édifices publics et des installations d’infrastructure dans la moitié des années 80, la visite du pape Jean Paul II, et même l’état du cinéma du Luxembourg. Bien que touchant en particulier l’expérience et le souvenir nationaux du Luxembourg, ce film nous connecte aussi et nous fait réfléchir à tout ce qui s’est passé dans le monde pendant cette décennie folle, étrange et maintenant lointaine.
